Inscrit le: 05 Aoû 2006 Messages: 621 Localisation: derrière une tasse de thé
Posté le: Lun Oct 22, 2007 6:00 pm Sujet du message: [FAN-FICS] Let's get smutty !!
Bon prenez pas peur, j'exagère un peu, c'est plutot sage. Y a un peu de suggestion à caractère sexuel, j'avoue, mais rien de bien méchant. Surtout par rapport à ce que je fais d'habitude... Si vous êtes choqués pour si peu, ben tant pis... Mais qu'est-ce que vous êtes prudes !!
Enfin bref, j'en suis super fière (il en faut peu, je sais) et vous l'avez presque en exclu pour le moment. Il est juste un peu sur la communauté des 30 interdits du LJ, mais c'est eux que je l'ai écrit. Donc si vous en voulez d'autres, faudra aller voir chez eux.
Les prochains seront sans doute trop... acidulés pour être en libre accès.
Voilà, bonne lecture !!
« Va-t-en… J’en ai assez. Sors ma vie, je ne veux plus te voir. » Sa voix était étonnamment calme. Posée, mesurée, douce. A peine un murmure. Elle n’était pas agressive, ni même énervée.
Ils étaient là tous les deux, au pied de son immeuble, comme tous les soirs. Il faisait sombre, il faisait froid. La rue était calme et silencieuse. Une nuit comme les autres.
Elle baissait la tête, le regard rivé sur ses pieds et il détesta la voir ainsi. Ses cheveux la protégeaient, il ne pouvait voir son visage.
Regarde-moi.
Il voulait l’entendre crier, hurler, le traiter d’imbécile, de maniaque de la gâchette, ou de n’importe quoi d’autre encore. Il pouvait tout entendre, mais pas ça. Comme il ne bougeait pas, elle parla un peu plus fort.
« Je n’ai pas besoin de garde du corps, et si vraiment quelqu’un doit me surveiller, Wraith fera parfaitement l’affaire. Tu n’as plus aucune raison de rester. »
Son sang se glaça. Les mots étaient durs, incisifs, ils le martelaient bien plus forts que tous les coups qu’il avait reçus au combat.
Elle ne pouvait pas être sérieuse…
« Chidori… » Regarde-moi.
Il se rapprocha un peu, hésitant, ne sachant pas vraiment ce qu’il devait faire. Jamais il ne s’était senti aussi vide. Il avait du mal à respirer, sa gorge était nouée et son cœur battait de façon anarchique.
Elle restait immobile, les yeux collés au sol. Il la vit trembler un peu, ses épaules tressautaient légèrement.
Pourquoi ?
Regarde-moi, explique-moi…
Il était perdu, dépassé par cette situation grotesque, incapable de la quitter même si elle le lui demandait. Wraith ne saurait pas la protéger, il n’était pas assez attentif.
Et il ne voulait pas partir. Il aimait cette vie, ce lycée, ces trajets qu’ils faisaient tous les soirs, leur repas ensemble, après des heures à réviser un contrôle. Tout le temps qu’il passait avec elle.
Il aimait être avec elle. Non, il l’aimait, elle.
C’était là depuis longtemps, mais maintenant, c’était une évidence. Il ne pouvait pas partir, parce qu’il ne voulait pas. Il voulait rester avec elle. Pas simplement comme un garde du corps ou un protecteur, mais comme un garçon normal, un camarade de classe, un ami, un... quelque chose. N’importe quoi. Il ne trouvait pas le mot qu’il cherchait. Il ne connaissait pas le mot qu’il cherchait.
Il n’était pas comme Shinji ou Onodera. Il était plus proche d’elle. Il voulait être plus proche d’elle.
Il était toujours en face d’elle, seulement un peu plus près, immobile et silencieux.
Kaname soupira et redressa la tête. Malgré l’obscurité, il voyait bien que ses yeux brillaient un peu trop, et ses joues étaient rougies, mais avec le froid ça n’avait rien d’étonnant.
« Rentre chez toi, Sosuke. »
Il la regarda fixement, attendant la suite, une explication, un commentaire. Qu’elle revienne sur sa décision.
« Rentre chez toi. C’est tout. »
« Mais je… » Il tendit la main vers elle mais elle l’évita.
« Laisse-moi. » Sa voix restait douce, mais il sentait la menace derrière ses mots.
Il soupira et baissa la tête.
« Je peux pas… »
Elle se mit à rire, mais un rire froid, sans joie.
« Mais bien sûr que si. Tu l’as déjà fait. Tu rentres chez toi, tu prends tes affaires et tu cours rejoindre tes vrais amis, là-bas au fond du Pacifique. » Sa voix se perdait dans le silence de la rue. Il resta planté là, à attendre, sans un mot, mortifié.
Oui, il l’avait déjà fait. Il était parti, sans même la prévenir, ni lui dire au revoir. Simplement pour obéir aux ordres. Et il avait détesté ça. Il avait détesté ce sentiment d’abandon, de trahison. Ce froid qui courait dans ses veines. Cette solitude. Ce vide. Le même qu’il avait ressenti quand Gauron lui avait dit qu’elle était morte. Le même qu’il ressentait maintenant.
Encore une fois, il répéta les mêmes mots, mais en la regardant droit dans les yeux.
« Je ne peux pas. »
Sa volonté vacilla. Et si… Non, elle ne devait pas espérer. Il ne pouvait pas parce que c’était sa mission.
« Ne t’inquiète pas pour tes supérieurs, je les préviendrais. Tu n’auras pas d’ennui. »
« Non. » Simple. Catégorique. Ferme.
S’ils étaient dans un film, ce serait le moment où il l’aurait embrassée. Il lui aurait montré tout ce qu’il ressentait par des gestes, mettant dans son baiser tout ce qu’il n’arrivait à dire avec des mots. C’était un homme de terrain, un homme d’action, pas un négociateur ou un diplomate. Il ne connaissait pas les bonnes tournures, ni la façon d’expliquer ces choses-là.
Tout ce qu’il pouvait faire en cet instant c’était la prendre dans ses bras, coller son corps au sien, découvrir ses lèvres, mordiller sa peau, s’imprégner de son odeur et peut-être même, pour être, sûr de la convaincre, la caresser, apprendre ses formes, lui faire ressentir le brasier qu’elle éveillait en lui.
Même là, dans la rue, il se fichait du danger, des voyeurs ou du froid. Il faisait nuit, la rue n’était pas tellement éclairée, ils étaient tranquilles. Il pouvait la prendre ici et maintenant sans se soucier du reste. Parce qu’une fois qu’il aurait commencé à la toucher, il serait incapable de s’arrêter.
Il attendait depuis trop longtemps.
Sa bouche sur la sienne, ses lèvres sa joue, dans son cou.
Ses mains sur ses hanches, sur son dos, dans ses cheveux.
Ses jambes contre les siennes, entre les siennes.
Défaire son manteau, glisser sous son uniforme, relever sa jupe.
L’embrasser encore.
Lui montrer qu’il ne pouvait pas la quitter, la laisser, l’abandonner encore une fois.
Découvrir son corps du bout des doigts, dans cette nuit froide.
Détacher sa ceinture, ouvrir son pantalon.
Se perdre en elle.
Il n’avait même pas à se soucier des conséquences, puisque dans les films, ce genre d’histoire se finit toujours bien.
Il pouvait lui faire l’amour comme ça, juste lui et elle, lui en elle, sans barrière, sans limite, sans interdit.
Simplement l’avoir à lui comme il était à elle.
Lui faire comprendre qu’elle comptait plus que tout le reste.
Ecouter sa respiration s’accélérer.
Le souffle court, sans la lâcher, s’enfoncer un peu plus.
L’entendre gémir ou crier. Plus fort.
Et pouvoir se dire que pour une fois, c’était bon signe.
Que c’était grâce à lui.
Mais ils n’étaient pas dans un film et il était incapable de faire quoi que ce soit.
Il se contenta de la regarder, rougissant de ce qu’il avait pensé, les yeux peut-être un peu plus ouverts qu’à l’ordinaire.
Curieusement, elle rougissait elle-aussi. Comme si elle avait pu voir dans son regard passer toutes ses rêveries. Elle entrouvrit la bouche, croyant pouvoir parler, mais aucun son en sortit.
Le temps était suspendu. En silence, ils se remettaient de ce qu’ils n’avaient pas vécu.
Puis une sonnerie résonna et Sosuke attrapa son portable.
Il réagissait par automatisme, décrochant et écoutant son interlocuteur sans vraiment y prêter attention. Il était toujours concentré sur Kaname et jamais ses yeux ne quittèrent les siens.
Puis il referma l’appareil et lui dit calmement : « Je dois y aller. »
Elle hocha la tête, montrant qu’elle avait compris, mais elle ne bougeait pas elle non plus.
« Je reviendrai bientôt… » Sa voix hésitait, il semblait lui demander la permission.
Elle cligna plusieurs fois de yeux et sembla renouer avec la réalité.
« OK. Sois prudent. »
« Aucun problème. » Et après un bref signe de tête en guise de salut, il disparut dans la nuit. _________________ Quand on voit de la lumière au bout du tunnel, c'est généralement qu'un train arrive en face.
Inscrit le: 05 Mar 2006 Messages: 309 Localisation: Regarde derrière toi ^^
Posté le: Mar Oct 23, 2007 11:50 am Sujet du message:
wouaahhh j'adore!!!! Encoooorrrrr mdr
J'aime beaucoup toutes ces descriptions, les motes utilisés et tout...
Moi j'dis qu'il n'y a rien de choquant là-dedans, même moi j'en ai écrit des trucs comme ça ^^
Enfin en bref, n'hézite pas à en ajouter _________________
Inscrit le: 25 Aoû 2007 Messages: 80 Localisation: A l'Ouest...
Posté le: Mar Oct 23, 2007 4:23 pm Sujet du message:
Alors, j'ai deux versions de commentaires :
- Superbe, magnifique. Mention spéciale à "En silence, ils se remettaient de ce qu’ils n’avaient pas vécu." Très bien écrit, tu l'as bossé celui-là. Tu as raison d'en être fière, au diable la modestie, quand on écrit un truc pareil on a bien le droit de sauter partout devant son pc.
Autre version :
- Tu te f*** de ma g***** ? Tu nous laisse comme ça ? Et nous, quand tu parles d'attiser le feu ? Hein ? Sadique ! Ah non, le coup de "il aurait pu se passer tout ça... mais non, na !" me donne envie de sortir le fouet en poil d'écureuil roux ! non mais !
Inscrit le: 05 Aoû 2006 Messages: 621 Localisation: derrière une tasse de thé
Posté le: Mar Oct 23, 2007 6:04 pm Sujet du message:
Merci merci !
J'avoue que je craignais un peu les commentaires du type 2... Mais bon, pas grave.
Je suis bien contente si celui-là vous a plu !! Je le sentais bien. Ca doit être le froid qui m'inspire.
Par contre, je voudrais comprendre, il existe réellement des écreuils qui sont pas roux ? Pourquoi tout le monde semble avoir le besoin de préciser ? Et pourquoi, oui pourquoi tout le monde à un fouet en poils d'écureuil et pas moi ? _________________ Quand on voit de la lumière au bout du tunnel, c'est généralement qu'un train arrive en face.
Inscrit le: 05 Aoû 2006 Messages: 621 Localisation: derrière une tasse de thé
Posté le: Mer Oct 24, 2007 5:05 pm Sujet du message:
T'as pas compris, c'était un appel discret...Après tout noWel est dans deux mois... _________________ Quand on voit de la lumière au bout du tunnel, c'est généralement qu'un train arrive en face.
Inscrit le: 05 Aoû 2006 Messages: 621 Localisation: derrière une tasse de thé
Posté le: Jeu Nov 08, 2007 2:59 pm Sujet du message:
Alors voilà, je reviens avec deux petits textes citronés. Le premier est sur l'ouïe, version Sosuke et le deuxième sur l'odorat, version Kaname.
J'espère que ça plaira. C'est plutot gentil, pour ne pas dire franchement niais, mais bon, on fait ce qu'on peut
Ca commence toujours de la même façon, elle ne perd pas son temps. Elle sait ce qu’elle veut et fait toujours ce qu’il faut pour l’obtenir.
A peine ai-je passé la porte que je sais ce qu’il va se passer.
Le bruit de ses pas sur le carrelage. Sa démarche est différente des autres jours et pourtant, je la reconnais. Je sais ce que ça annonce.
Elle me sourit, me demande comment la mission s’est passée et après s’être assurée que je ne suis pas blessé, elle retourne au salon, lire ou regarder un film, ou n’importe quoi d’autre qu’elle avait commencé bien avant mon retour. Elle ne cherche pas de contact, elle sait que je ne suis pas à l’aise avec ça. En tout cas pas tant que je suis cet état.
Je vais prendre ma douche, essayer de me débarrasser de cette odeur d’huile, de poudre et de mort qui me colle à la peau. Je me demande toujours comment elle peut le supporter, mais d’après elle, ça fait partie de moi.
Je me lave rapidement, ne voulant pas la faire attendre plus que nécessaire.
Depuis deux mois qu’on s’est retrouvés, j’ai passé plus de temps en mission qu’avec elle, alors je comprends qu’elle perde patience. Surtout que ça n’a jamais été une de ses grandes vertus. Elle respecte mon intimité, me laissant le temps de me défaire de ces jours de combats avant de se blottir dans mes bras.
Pourtant, je sais que ça lui coûte et qu’elle voudrait déjà que je sois près d’elle.
Je souris en entendant la porte s’ouvrir. Elle ne me laisse même pas le temps de me sécher avant de m’entraîner dans sa chambre et de m’asseoir sur le lit.
Le couinement étouffé du matelas qui s’affaisse sous mon poids, le froissement des draps, pousser rapidement et enfin, le bruissement léger de sa jupe, tombant sur le sol.
Elle ne garde rien. La pudeur est depuis longtemps oubliée entre nous. Elle m’embrasse, du bout des lèvres et s’allonge délicatement sur moi.
Elle a envie de moi, et me répète inlassablement que je lui ai manqué.
D’abord un murmure, ses mots sont doux et tendres, puis rapidement, quand nos corps se découvrent, s’explorent et se perdre, sa voix frémit. Elle tient absolument à prouver son point et n’accepte aucune contestation.
Comme à chaque fois, je fais tout pour lui plaire. Sa peau m’appelle et je ne veux rien lui refuser.
J’écoute son cœur qui bat, sa respiration qui s’emballe. Ses paroles deviennent incohérentes. Les phrases raccourcissement pour n’être plus que soupirs. Le sens se perd au profit du plaisir. Ses gémissement l’emportent, ils deviennent plus forts, plus saccadés aussi. Je me laisse bercer par sa musique et je fais tout pour la suivre. Je plonge en elle, envoûté par sa mélodie. Elle ronronne, visiblement contente de l’effet que j’ai sur elle.
Le lit tout entier se met à chuchoter lui-aussi dans le silence de son appartement. Quelques grincements en rythme qui se mêlent au tempo général, jusqu’à l’apothéose.
« Sosuke !! »
Avant, quand je l’entendais crié mon nom, je m’attendais toujours au pire. Maintenant, c’est tout le contraire.
Les choses s’emballent, je perds le contrôle. Une fois encore elle a obtenu ce qu’elle voulait.
La tension diminue, elle me sourit. Je crois qu’elle est contente. Et moi-aussi.
Je reste dans ses bras, la tête posée sur sa poitrine, j’entends son cœur qui essaie de se calmer.
La nuit retrouve sa douceur et sa sérénité. Maintenant, je peux la prendre dans mes bras et lui dire qu'elle aussi, elle m'a manqué.
Pendant qu’elle s’endort contre moi, j’écoute le silence seulement troublé par sa respiration qui redevient régulière et à son souffle sur mon cou, je sais qu’elle est heureuse.
****
Je garde toujours ses vêtements quand il n’est pas là. Je dors avec une de ses chemises, enroulée dans son pull, et je m’arrange pour avoir toujours sous la main un de ses débardeurs en cas de manque. Je le renifle un peu, et j’ai l’illusion qu’il est près de moi, que je suis dans ses bras.
Parfois, je me dis que je suis folle, mais d’un autre coté, notre situation n’est pas facile. Il est toujours en déplacement à l’autre bout de la planète et ne me prévient jamais ni quand il part, ni quand il revient.
Même s’il est toujours soldat, il est très différent maintenant, il sait séparer nos deux mondes. Ce qu’il vit avec moi, c’est la réalité, et le reste, son travail, sa mission, ça ne compte pas d’après lui.
Par conséquent, je n’ai pas le droit de l’approcher tant qu’il est encore en mode soldat. Ce n’est pourtant pas l’envie qui me manque, mais je respecte son choix et me contente de son odeur qui remplit déjà l’appartement dès qu’il franchit la porte.
Quand il rentre, il sent la sueur, la poudre et l’huile de moteur. Il ne prend pas la peine de se laver avant, préférant être près de moi le plus vite possible pour me rassurer.
Depuis que je le connais, il dégage toujours ce même parfum spécifique. Et il croit toujours qu’il peut s’en débarrasser simplement avec une douche, mais ça fait partie de lui. Il ne comprend pas qu’il me rassure, qu’il me berce. Aussi incroyable que ça puisse paraître, je suis devenue le genre de fille qui rougit devant une station service.
L’odeur de l’essence me fait toujours penser à lui, et quand je pense à lui, ce n’est généralement pas anodin.
Le savoir près de moi me rend systématiquement obsédée. J’ai besoin de lui, de sa peau, de son corps, de son empreinte sur moi.
Sans m’en rendre compte, je suis déjà à la salle de bain, le nez plongé dans son t-shirt à m’immerger en lui. J’ai appris à me contenter de peu…
Quand il me voit, il me sourit. Il savait parfaitement de quoi j’ai envie et il en a envie aussi.
Ces longues semaines sans nous voir sont une torture. Heureusement, moi j’ai la chance de pouvoir garder un peu lui dans mes draps. Je garde l’illusion qu’il dort avec moi, sa peau laissant sa trace olfactive partout où elle passe.
Il sent le savon et l’eau chaude. Il a pris le soleil aussi, son cou a une légère odeur de caramel et je ne résiste pas à l’envie d’y planter mes dents.
Il me fait l’amour doucement. Comme à chaque fois. Il écoute et moi je sens. Et je ressens.
Je m’enivre de lui, de ses baisers, de sa peau, de son essence. Parfum capiteux et excitant. De poudre, de soleil et d’armes. Tout ce qui fait qu’il est lui.
De chaleur, de draps propres, de corps humides et de sexe qui fait que nous sommes nous, tous les deux, en cet instant.
Il se répand dans tout mon être, sur ma peau et dans mes veines. J’infuse en lui, transportée par cette odeur si particulière qui n’émane que de lui.
Je reste le visage enfoui sur sa poitrine à respirer en peu plus de lui. Je suis une droguée, insatiable et vorace. Je me sens m’endormir contre lui. Cette fois c’est bien réel. Demain, il ne sera sans doute plus là, mais je garderai le souvenir de cette nuit grâce à son odeur sur mes draps.
_________________ Quand on voit de la lumière au bout du tunnel, c'est généralement qu'un train arrive en face.
Inscrit le: 05 Aoû 2006 Messages: 621 Localisation: derrière une tasse de thé
Posté le: Dim Nov 11, 2007 11:14 pm Sujet du message:
Ben je préfère être prudente. J'ai beaucoup de mal à évaluer ce qui peut choquer les gens.
J'ai des gamines de 13-14 ans qui lisent certains de mes textes autrement plus explicites et qui en redemandent et d'autres d'une vingtaine d'années qui trouvent que ce que je fais est à limite de la morale donc bon...
Je préviens que le texte parle de cul, même si effectivement, je ne rentre pas dans les détails. Pour une fois _________________ Quand on voit de la lumière au bout du tunnel, c'est généralement qu'un train arrive en face.
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